Des droits pour les femmes, De la dignité pour tous. C’est le crédo qui a guidé la Directrice d’Amnesty Canada francophone et le Directeur d’Amnesty Belgique francophone au Burkina Faso en septembre 2010. Ces personnalités, à travers leur section respective, sont engagées aux côtés d’Amnesty Burkina Faso depuis le lancement de la campagne contre la mortalité maternelle au Burkina Faso. La mission de septembre avait pour objectif de renforcer les capacités d’actions des membres d’Amnesty Burkina et de former les partenaires sur les droits sexuels et reproductifs.
Les droits sexuels et reproductifs sont une composante essentielle des droits humains reconnus à l’être humain et contenus dans le droit national burkinabé. Par le principe de l’interdépendance des droits humains, les droits sexuels et reproductifs entretiennent des liens forts avec d’autres droits humains et conditionnent l’accès à la santé sexuelle et reproductive. En d’autres termes, les droits sexuels et reproductifs sont des garanties de réduction du taux de mortalité maternelle et contribuent dans la mise en œuvre du droit à la santé maternelle. Par conséquent, les droits sexuels et reproductifs sont des outils puissants, existants, qui servent à protéger les droits humains et les conditions des femmes et des filles.
Cependant, il n’est pas toujours aisé d’évoquer la question des droits sexuels et reproductifs à cause de leur caractère tabou. L’absence de reddition des comptes et de recours pour faire respecter les droits caractérisent les droits sexuels et reproductifs. Cette situation renforce du même coup la discrimination à l’égard des femmes. Une bonne compréhension et une bonne utilisation au quotidien du cadre juridique national et international par la population, au Burkina Faso, est essentiel afin de sensibiliser les citoyens à défendre et à réclamer leurs droits en matière de sexualité et de procréation. Elle permettrait également la promotion de l’égalité homme – femme dans l’accès à l’information, à l’éducation et aux services de santé en matière de sexualité et de reproduction. Pour se faire, plusieurs ateliers de sensibilisation et de formation sur les droits sexuels et reproductifs ont été organisés au profit des partenaires et des membres d’Amnesty Burkina à Koudougou et à Ouagadougou. Durant ces formations, les participants ont mené des débats tendant à découvrir davantage les recours existants et les stratégies d’utilisation de ces recours pour faire respecter leurs droits à tous les niveaux. D’autres rencontres ont été organisées dans la capitale burkinabé sur cette même question avec des professionnels de la santé.
Les droits sexuels et reproductifs sont une composante essentielle des droits humains reconnus à l’être humain et contenus dans le droit national burkinabé. Par le principe de l’interdépendance des droits humains, les droits sexuels et reproductifs entretiennent des liens forts avec d’autres droits humains et conditionnent l’accès à la santé sexuelle et reproductive. En d’autres termes, les droits sexuels et reproductifs sont des garanties de réduction du taux de mortalité maternelle et contribuent dans la mise en œuvre du droit à la santé maternelle. Par conséquent, les droits sexuels et reproductifs sont des outils puissants, existants, qui servent à protéger les droits humains et les conditions des femmes et des filles.
Cependant, il n’est pas toujours aisé d’évoquer la question des droits sexuels et reproductifs à cause de leur caractère tabou. L’absence de reddition des comptes et de recours pour faire respecter les droits caractérisent les droits sexuels et reproductifs. Cette situation renforce du même coup la discrimination à l’égard des femmes. Une bonne compréhension et une bonne utilisation au quotidien du cadre juridique national et international par la population, au Burkina Faso, est essentiel afin de sensibiliser les citoyens à défendre et à réclamer leurs droits en matière de sexualité et de procréation. Elle permettrait également la promotion de l’égalité homme – femme dans l’accès à l’information, à l’éducation et aux services de santé en matière de sexualité et de reproduction. Pour se faire, plusieurs ateliers de sensibilisation et de formation sur les droits sexuels et reproductifs ont été organisés au profit des partenaires et des membres d’Amnesty Burkina à Koudougou et à Ouagadougou. Durant ces formations, les participants ont mené des débats tendant à découvrir davantage les recours existants et les stratégies d’utilisation de ces recours pour faire respecter leurs droits à tous les niveaux. D’autres rencontres ont été organisées dans la capitale burkinabé sur cette même question avec des professionnels de la santé.
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